FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 25-04-2013 à 06:21:26

5,5 milliards de FCFA pour rendre plus opérationnelle la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale(CEEAC)

 

La Banque africaine de développement (BAD) a octroyé une enveloppe de sept millions d’Unités de compte soit 5,5 milliards de FCFA pour rendre plus opérationnelle la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale(CEEAC), annonce la CEEAC dans un communiqué.
    

L'enveloppe sera décaissée en quatre ans. La cérémonie de signature de ce don s’est déroulée mercredi au siège de la CEEAC à Libreville. Le Secrétaire Général de la CEEAC, Nassour Guelengdouksia Ouaïdou a qualifié de meilleur cadeau du début de l’année 2013, la bouffée d’oxygène insufflée par la BAD.


Pour le Représentant Résident de la BAD au Gabon, Monsieur Moulaye Lahcen ENNAHLI, il s’agissait de lier la parole à l’acte. En effet, Il ya six mois, plus précisément le 10 octobre 2012, le Représentant Résident de la BAD au Gabon, et le Secrétaire Général de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, avaient signé l’aide mémoire consacrée à ce Projet d’ Appui au Renforcement des Capacités Institutionnelles à la CEEAC (PARCI-CEEAC). Le projet s’articule sur trois composantes.


Il s’agit d’améliorer le cadre institutionnel à savoir suivi-évaluation des programmes de développement des infrastructures régionales, d’appuyer l’harmonisation des politiques et instruments d’intégrations régionales ; et enfin de gérer et coordonner l’ensemble de ce projet.


La mise en œuvre de ce projet qui concerne aussi la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale) permettrait aux deux communautés Economiques Régionales (CER) de disposer d’outils et d’instruments ainsi que de ressources humaines qualifiées à même de consolider, de façon efficace, le processus d’appropriation des projets tant au niveau régional qu’au niveau des Etats membres.

Gabonactu     

 


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posté le 25-04-2013 à 06:05:29

Elections locales : Les partis de l’opposition souhaitent un report de 6 à 8 mois

Les membres des partis de l’opposition ont déclaré lors de leur audition par la Cour Constitutionnelle lundi 22 avril qu’ils souhaitent un report n’excédant pas huit mois. En effet, ils espèrent que cela permettra de mettre en place de meilleures conditions de transparence lors des votes. Cette audition s’est tenue au siège de la Cour Constitutionnelle.
© DR
Suite à la saisine de la Cour Constitutionnelle par le Premier Ministre Raymond Ndong Sima et la lettre de Me Louis Gaston Mayila à la haute juridiction sollicitant un report des élections locales, les partis de l’opposition ont été auditionnés lundi par ladite Cour.

L’opposition gabonaise regroupant l’Union des Forces du Changement (UFC), l’Union des Forces pour l’Alternance (UFA) et la Convention des Partis Politiques Démocrates et Républicains de l’Opposition (CPPDRO) a souligné son souhait de ne pas voir le report des élections locales excéder huit mois.

Cette demande a pour principal fondement d’éviter la fraude. De ce fait, le processus de transparence électorale mis en œuvre par le biais de la biométrie selon l’opposition doit englober l’enrôlement, l’authentification et la mise en réseau des centres de vote.
Selon la CPPDRO, le gouvernement de la République aurait volontairement occasionné ledit report, preuve de sa volonté de bloquer le processus de mise en œuvre de la biométrie.

« Nous avons eu, avec la président de la Cour Constitutionnelle, un débat très constructif. L’opposition dans son ensemble ne peut qu’accepter le report des élections locales. Mais, nous disons ceci : reporter les élections, parce que la liste électorale n’est pas encore biométrisée ne constitue pas la biométrie. Pour nous, la biométrie, c’est l’enrôlement, l’authentification de l’électeur dans le bureau de vote et la mise en réseau des centres de vote. Pour éviter des votes multiples, où une personne peut, par exemple, voter cinquante fois avec une liste, bien qu’étant biométrique, à l’image de la carte CNAMGS, où une personne peut soigner tout un village », a souligné Me Louis Gaston Mayila, président de l’UFC.

La présidente de la Cour a donc pris acte des différentes interventions. Le tour est revenu hier aux partis politiques de la majorité d’être auditionnés par la Cour Constitutionnelle.
Source:Gaboneco
 


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posté le 25-04-2013 à 05:59:08

La Journée Mondiale de Lutte contre le Paludisme : « Investir dans l’avenir, vaincre le paludisme »

Chaque 25 avril, les États Membres de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) célèbre la Journée Mondiale de Lutte contre le Paludisme. Celle-ci tourne autour de la sensibilisation en vue de présenter aux populations cibles quels sont les dangers de cette maladie en Afrique.
© DR
La Journée Mondiale de Lutte contre le Paludisme est célébrée chaque année le 25 avril. Le thème adopté pour 2013 est « Investir dans l’avenir, vaincre le paludisme ». Cette journée a été instituée par les États Membres de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), lors de l’assemblée mondiale de la Santé de 2007.

Cette journée, organisée par l’OMS, a pour but de faire prendre conscience de l’effort nécessaire au niveau mondial pour lutter efficacement contre le paludisme.

Le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. Le parasite est transmis d'une personne à une autre par les piqûres d'un moustique : l’anophèle femelle, qui a besoin de sang pour nourrir ses œufs. D’une manière générale, le paludisme est l’une des premières causes de mortalité infantile en Afrique.

Cette maladie se manifeste le plus souvent par une forte fièvre, des frissons, des maux de têtes, et des douleurs musculaires. Le parasite du paludisme passe du moustique au sang de l’homme lors de la piqûre. Le parasite se rend dans le foie et y reste environ deux semaines pour le type de paludisme le plus dangereux.

Pour prévenir cette maladie, il faut utiliser les moustiquaires, des produits anti-moustiques et assainir son environnement. En effet, il n’existe pas encore de vaccin efficace contre le paludisme. Cette maladie est potentiellement dangereuse et peut même entraîner la mort. Dans les cas les plus sévères, la mort peut survenir dans les 12 heures qui suivent les premiers symptômes.

Comme partout dans le monde, le Gabon par le biais du Ministère de la Santé a prévu une série de manifestations à l’occasion de cette célébration.
Source: Gaboneco
 


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