FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 11-01-2013 à 20:06:06

LES VŒUX DE L’UFPDG ET DE L’UJPDG À FAUSTIN BOUKOUBI

L'union des femmes du Parti démocratique Gabonais et l'Union des Jeunes de cette formation politique ont présenté hier au siège du parti leurs vœux de nouvel an au secrétaire exécutif de cette formation politique Faustin Boukoubi. Occasion de faire le bilan de l'année 2012 et de décliner les perspectives des uns et des autres pour l'année 2013.

 

 

A l’instar d’autres organisations qui, à l’orée de chaque année, se soumettent à une tradition de présentation des vœux de nouvel an à leurs chefs hiérarchiques respectifs, l’UFPDG et l’UJPDG ont présenté tour à tour leurs vœux au secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG), Faustin Boukoubi.


La cérémonie a eu lieu hier au siège du parti, sis à Louis où, sous la conduite de la déléguée nationale des femmes pedegistes Paulette Koho, le bureau national de ces deux organes a procédé à la remise des cadeaux au secrétaire général du parti en guise de remerciements pour l’action menée au sein du parti et pour le soutien de ce dernier à leurs multiples activités.

Trois allocutions ont ponctués ces moments de retrouvailles entre membres du secrétariat exécutif, membres du bureau national de l’UFPDG et de l’UJPDG. D’abord celle de la doyenne de l’UFPDG lucie Ikapi Bignoumba qui, dans son propos, a rappelé le rôle important que joue la femme pédégistes au sein de ce parti. Rôle qui consiste à allier animation et mobilisation pour défendre les couleurs du parti au pouvoir.

Le délégué national de l’UJPDG Justin Mikouandza Tonda a, quant à lui, réaffirmer l’engagement des jeunes à militer davantage au sein du PDG et à soutenir les actions courageuses menées par le président du parti, Ali Bongo Ondimba. Le PDG qui, selon lui, a toujours su valoriser les jeunes, considérés comme la force d’avant-garde et l’avenir du parti.

Tout en relevant que l’année 2012 a été une année charnière pour le PDG au regard du nombre record des élus à l’assemblée nationale (114/120), le représentant des jeunes du PDG a loué une telle prouesse qui selon lui confirme la parfaite adhésion des gabonais à la politique de l’émergence prônée par le distingué camarade Ali Bongo Ondimba.

Tout en saluant l’inlassable détermination et dynamisme avec lesquels l’équipe du bureau du secrétariat exécutif font montre dans l’application des reformes engagées depuis le dernier congrès du parti qui consiste à faire de la discipline l’apanage du bon militant, Justin Mikouandza Tonda a en outre, évoqué le problème de chômage des jeunes qui sur un total de 20% au plan international, près de 60% sont des jeunes.

Comme perspectives au sein de l’UJPDG, Justin Mikouandza Tonda a annoncé que le bureau des jeunes de ce parti s’engage à faire partie du groupe des jeunes volontaires pour l’Emergence préconisé par le Président de la République afin de défendre activement les valeurs de responsabilité et de citoyenneté.

Faustin Boukoubi prenant la parole le dernier s’est exprimé au nom de ses collègues du secrétariat exécutif et de la direction générale du parti. Après avoir remercié les uns et les autres pour le geste manifesté à son endroit, le secrétaire général du PDG a sensibiliser les femmes et les jeunes à demeurer au sein du PDG malgré les critiques dont ils font l’objet au quotidien.

Il a également affirmé l’engagement du PDG à soutenir l’action du Président de la République et a vanté la cohésion au sein du PDG même si selon lui certains qui sont dans les rangs de ce parti boycottent les actions de développement de notre pays initiées par le Chef de l’Etat. A noter que les femmes et les jeunes du PDG ont offert à leur responsable politique plusieurs cadeaux remplis de symboles, à l’instar de deux cornes de buffle qui symbolisent, d’après elle, la force et le courage d’être toujours prêt à ‘’charger l’adversaire. Les jeunes quant à eux ont offert une montre luxueuse et porte chéquier de valeur.
 

 

 


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posté le 10-01-2013 à 21:03:23

Cyclisme : la 8ème édition de la Tropicale Amissa Bongo s'annonce prometteuse Tropicale Amissa Bongo

C'est l'événement cycliste africain de l'année : la Tropicale Amissa Bongo qui se déroule au Gabon ! La 8ème édition, qui débutera le 14 janvier prochain à Bitam au nord du pays, va réunir 90 coureurs venus d'Afrique et d'Europe. Avec une étape supplémentaire, cette cuvée s'annonce comme la plus longue de son histoire.


Par rapport à la dernière compétition, les organisateurs ont annoncé à la presse qu'il y aurait une 7ème étape au programme, soit 283 km supplémentaires. « Ce sera l'épreuve la plus longue de l'histoire de la Tropicale », a déclaré fièrement le directeur général, Jean Claude Hérault. L'étape qui reliera Lambaréné à Mouila sera également la plus longue depuis la création de cette compétition internationale de cyclisme (190 km). Enfin, la Tropicale fera également escale au Cameroun, une étape étant en effet prévue dans la capitale, Yaoundé.

Anthony Charteau et Thomas Voeckler devraient être présents.

Du 14 au 20 janvier 2013, 90 coureurs venus de 15 pays d'Afrique et d'Europe voudront décrocher la victoire finale. Parmi les favoris se trouvent les 5 équipes professionnelles internationales que sont Team Europcar (France), Astana Continentale (Kazakhstan), Team MTN-QHUBEKA (Afrique du Sud), Groupement Sportif Pétrolier (Algérie) et Team Specialized Concept Store (Allemagne). Dans l'équipe française, on retrouve un certain Thomas Voeckler, vainqueur d'une étape en 2012, et Anthony Charteau, trois fois vainqueur de l'épreuve.

Du côté gabonais, deux équipes seront au départ. Voilà une belle occasion pour les jeunes coureurs de découvrir le haut-niveau de la compétition. Cette Tropicale Amissa Bongo s'annonce, donc, prometteuse.
 
 


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posté le 10-01-2013 à 20:59:24

Séléka décide d'observer un cessez-le-feu de sept jours

La rébellion centrafricaine Séléka (coalition en langue sango) a décidé jeudi, à Libreville, où se déroule les pourparlers inter centrafricains d'observer un cessez-le-feu de sept jours afin de permettre au président François Bozizé de rapatrier les soldats étrangers qu'il a appelé en renfort et faire place à la Force multinationale de l'Afrique centrale (FOMAC).


La séléka a lâché du leste jeudi matin dans le cadre de la poursuite des discussions entamées mercredi sous les auspices du comité de suivi de l'accord global de paix inter centrafricain de 2008 de Libreville, présidé par le chef de l'Etat du Congo Brazzaville, Denis Sassou Nguesso dont les débats ont été menés par son ministre des Affaires étrangères, Basile Ikouébé.

 

Les rebelles ont également exigé la libération pendant la trêve de tous les prisonniers politiques, la nommination d'un Premier ministre issue de l'opposition que le président de la République ne pourra pas limoger.

 

Ils ont aussi demandé la révision de la constitution pour abroger la disposition donnant le pouvoir au chef de l'Etat de nommer et de destituer le Premier ministre.

 

Les rebelles ont également exigé la levée des barricades dressés par les partisans de François Bozizé dans Bangui, la capitale, l'unique ville dont il a encore la maîtrise.

 

Selon une source proche des pourparlers de Libreville, François Bozizé n'est pas encore arrivé au Gabon parce qu'il animait un meeting à l'aéroport où ses partisans étaient amassés.

 

Quatre chefs d'Etat des pays membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) sont déjà arrivés dans la capitale gabonaise où il doivent prendre part à un sommet extraordinaire consacré à la crise centrafricaine.

 

Il s'agit du président du Congo Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, de la Guinée Equatoriale, Teodoro Obiang Nguema, de Sao Tomé et Principe, Manuel Pinto Da Costa et du Tchad, Idriss Déby Itno, par ailleurs président en exercice de la CEEAC.

 

Mercredi, les négociations ont sérieusement piétinées. Les rebelles et l'opposition restaient camper sur leurs positions, celles demandant le départ du président Bozizé du pouvoir avant l'observation d'un cessez-le-feu et l'ouverture des négociations politiques.

 

François Bozizé fait face depuis le 10 décembre dernier à une rébellion qui a déjà conquis plusieurs villes de l'intérieur du pays. Selon certaines sources, les rebelles sont actuellement à 75km de Bangui.

 

 


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