FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 04-02-2013 à 19:27:55

Le New York Forum Africa 2013 se déroulera du 14 au 16 juin 2013

Fort du succès de la 1ère édition, le New York Forum Africa, qui réunit des dirigeants d'entreprise, des responsables politiques, des diplomates ainsi que des intellectuels et des journalistes pour débattre des opportunités d'affaires entre le Nord et le Sud, se tiendra de nouveau dans la capitale gabonaise, Libreville, du 14 au 16 juin 2013.

 

La première édition du New York Forum Africa de Libreville en 2012

 

Si les objectifs du premier New York Forum Africa ont porté sur la reconnaissance des progrès économiques de l'Afrique ainsi que l'examen des opportunités pour les entreprises et les investisseurs, le rendez-vous de 2013 aura pour grande tâche d'explorer les étapes à suivre dans la mise en place d'un plan d'action concret, pertinent et évolutif en vue d'attirer, retenir et accroître les investissements.

 

Les chefs d'entreprises ainsi que les dirigeants politiques participeront à d'intenses séances de travail afin d'élaborer une feuille de route à l'attention des entreprises individuelles et des responsables politiques nationaux, pour servir de guide et inciter à l'action.

 

A l'initiative de Richard Attias et du Président Ali Bongo Ondimba, le New York Forum Africa se veut être le plus grand rassemblement annuel de toutes les générations de décideurs et d'experts appelés à collaborer à l'émergence d'une Afrique gagnante, innovante, prospère, autonome, stable, qui jouerait un rôle de premier plan dans le nouvel ordre économique mondial.

 

Le Gabon, pays hôte, est une destination de choix étant donné l'ambition de ses plans nationaux, de son approche novatrice en matière de développement durable et de son engagement pour la création d'infrastructures de niveau mondial.

 

 


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posté le 04-02-2013 à 13:12:56

Gabon : Extension des droits de la CNAMGS au secteur privé

Une rencontre s'est tenue jeudi à Libreville entre les responsables de la Caisse Nationale d'Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS) et le patronat gabonais, dans le but de réfléchir sur l'immatriculation et la prise en charge médicale des agents du secteur privé.
 

Michel Mboussou, Dicteur Général de la CNAMGS, accompagnés de ses proches collaborateurs, a expliqué aux chefs d'entreprise les modalités de l'extension des droits de la CNAMGS au secteur privé, en présentant également les avantages de cette couverture médicale. Ceux qui sont concernés par cette immatriculation sont notamment les salariés du secteur privé et parapublic, les ayants droit, les retraités de ce secteur et les retraités volontaires.

 

L'agent doit cotiser 2,5% par rapport à la prise en charge par la CNAMGS, alors que l'employeur lui, cotisera 4,1 % au profit du travailleur. Cette cotisation sera ensuite transférée à la CNSS. Quant au retraité ayant une pension en dessous du SMIG, il cotisera 1,5% de sa pension.

 

« Nous avons des atouts à faire valoir avec une protection médicale, qui offre des avantages aux travailleurs car, c'est pendant qu'ils sont actifs qu'ils doivent penser à la retraite », a déclaré Michel Mboussou précisant que le début effectif de l'immatriculation des agents du secteur privé est prévu pour le 1er mars 2013.

 

En mettant en place en 2007 le régime obligatoire d'assurance maladie et de garantie sociale pour accompagner la population gabonaise dans ses dépenses de santé, le Gabon a ainsi réalisé une avancée majeure. Aujourd'hui, la Caisse Nationale d'Assurance Maladie et de Garantie sociale est considérée comme l'élément moteur de la politique sociale du Chef de l'Etat et du Gouvernement gabonais.

 

Relevant de la tutelle du ministère en charge de la prévoyance sociale (Ministère de l'économie de l'emploi), la CNAMGS est de facto associée aux grands enjeux en matière de santé, ce qui l'amène à jouer un rôle essentiel auprès de la population.

 

Garantir la couverture maladie à l'ensemble de la population gabonaise ; Assurer le service des prestations familiales aux Gabonais Économiquement Faibles (GEF), qui perçoivent des allocations familiales, une prime de rentrée scolaire et une prime à la naissance sous forme de layette, sont, entre autres, les deux principales missions de la CNAMGS, qui a pour objectifs : L'amélioration de l'accès aux soins de santé ; La contribution à l'amélioration de l'offre de soins, ainsi que la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale.

 

Le 16 Août 2011, à la veille de la Célébration de la fête de l'indépendance du Gabon, le Président Ali Bongo Ondimba avait instruit la CNAMGS et le Gouvernement d'«imaginer les voies et moyens d'instauration d'un système plus humanisé et solidaire pour les cas de force majeure qui ne laissent personne à l'abri». Dans le cadre de son allocution de nouvel an et de vœux à l'endroit de la population gabonaise, Chef de l'Etat, qui a placé le social au centre de son action, est revenu sur la question de la protection sociale et de l'assurance maladie obligatoire pour affirmer que l'effectivité du transfert des compétences de la CNSS vers la CNAMGS aura bien lieu en 2013.

 

L'extension des droits de la CNAMGS aujourd'hui au secteur privé obéit à cette volonté du Président Ali Bongo Ondimba, qui œuvre pour le bien être de ses compatriotes.

 

 


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posté le 04-02-2013 à 13:10:01

Des experts de la fiscalité en concertation à Libreville

Les responsables des impôts d'une trentaine de pays francophones ont débuté lundi, à Libreville, un colloque visant à l'élaboration d'un guide méthodologique d'aide à la définition des pré-requis et des besoins fonctionnels en vue de l'informatisation de leurs services respectifs.

Des experts de la fiscalité en concertation à Libreville


‘'L'atelier qui réunit aujourd'hui (lundi) les délégués des administrations fiscales francophones, constitue la deuxième étape des échanges qui ont eu lieu du 3 au 5 décembre 2012 à Nouakchott en Mauritanie'', a déclaré le directeur général des Impôts du Gabon, Joël Ogouma à l'ouverture du colloque prévu pour s'achever vendredi prochain.

 

Depuis 2003, le Centre de rencontres et d'études des dirigeants des administrations fiscales (CREDAF) rassemble chaque année, au sein de groupe de travail, des cadres des administrations fiscales, pour élaborer une documentation à visée pratique et opérationnelle afin de soutenir les pays membres dans leurs actions grâce à des guides, chartes et autres supports de documentation.

 

‘'L'informatisation des administrations fiscales constitue une ambition qui est légitimée par l'obligation des résultats à laquelle ces administrations sont astreintes, car elle contribue fortement à l'amélioration de la performance des services fiscaux, corollaire de l'accroissement des recettes fiscales'', a soutenu M. Ogouma.

 

Le ministre gabonais de l'économie Luc Oyoubi a rendu un hommage particulier au CREDAF pour son action en faveur de la communauté fiscale francophone et l'appui multiforme qu'il apporte aux Etats membres.

 

‘'Votre présence à Libreville traduit l'intérêt que nos Etats respectifs accordent au raffermissement de la coopération entre les administrations fiscales des pays membres, à travers la mutualisation des connaissances et des expériences, pour instaurer la bonne gouvernance fiscale et impulser une dynamique d'accroissement des performances'', a-t-il relevé.

 

Pour sa part le secrétaire général du CREDAF, Gilles Berteau a affirmé que chaque action de l'organisation, qu'il s'agisse du colloque annuel, des séminaires ou des groupes de travail, est animé par des experts de haut niveau exerçant dans les administrations fiscales de ses membres.

 

Une documentation riche et complète est mise à disposition des participants sur le thème traité, et tous les débats donnent lieu des synthèses, a-t-il souligné.

 

‘'Le CREDAF est aussi et surtout un cadre privilégié d'échange d'expériences, de mutualisation des bonnes pratiques et d'opportunités d'approfondir ou de mettre en place des coopérations régionales et internationales, le tout dans un esprit de convivialité et de fraternité reconnus de tous'', a soutenu M. Berteau.

Le CREDAF se fixe comme objectif central de favoriser l'échange d'informations entre les pays membres. Il a déjà contribué à la mise en place d'une banque internationale de données fiscales en faveur ses membres.

 

Crée en 1982 à Yaoundé (Cameroun), le CREDAF rassemble 30 pays francophones dont 24 pays africains, deux européens (France, Belgique), deux pays situés en Asie (Liban et Cambodge) et deux autres sur le continent américain (Canada et Haïti).

 

 


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