Loin
des tumultes d’une campagne présidentielle vide, rythmée de petites phrases,
d’affaires obscures de racismes et autres manipulations, quelques opportunistes
spécialistes du réchauffé ont choisi à nouveau de distraire l’opinion avec une
soi-disant affaire vieille comme la France dite de « des biens mal acquis ». Entendez par Biens
Mal Acquis, tout objet de haute valeur acquis par un africain, un noir ou encore
un ressortissants des colonies.
C’est
en effet avec un regard colonisateur et toujours sous le prisme déformant d'une Afrique méconnue et méprisée, que Messieurs
Mathieu PELLOLI et
Sébastien
RAMNOUX, deux journaleux du quotidien français "
Le Parisien" ont décidé de mettre leur plume au service de l'invectives en tarabustant le monde entier le
Vendredi 02 Mars 2012 à la « Une » de leur journal, avec une
succession de chiffres, d’images et de pseudo révélations truffées de mensonges dans un seul objectif:
Il faut salir, décrédibiliser et réussir le pari de porter atteinte à tout prix, à l’image du Président de
la République gabonaise ALI BONGO ONDIMBA et son épouse la Première
Dame Sylvia BONGO ONDIMBA dont il convient d'ailleurs
de rappeler qu’avant d’être Première Dame, elle a d'abord été Chef d’une
Entreprise qu'elle a elle-même créée et dont la prospérité au fil des
ans lui a offert une grande notoriété dans le pays,ce, grâce au seul
fruit du travail de celle qui lui a donné naissance.
Cependant
en parcourant les lignes de cet article, on se demande bien Pourquoi
cette affaire et pourquoi maintenant ?Et là soudainement nous nous
souvenons que nous sommes en période électorale en France et qu' un tel
sujet peut faire vendre ou gagner des voix à des socialo-communistes
complètement incultes, et qui n'ont de frontière que la France et leur
patelin.
Ne nous détrompons point, il ne s’agit à aucun moment ni d’informer, ni
de rétablir les gabonais dans leurs droits mais bien évidemment de s’en prendre
de manière caustique au Chef de l’Etat le
plus populaire d’Afrique et partant, de son pays le GABON. A défaut d’avoir pu atteindre ou attaquer frontalement le
père, on tente à présent de déstabiliser le fils.
Mais
en quoi ce petit pays au cœur de l’Afrique équatoriale est-il si
dangereux voir gênant à un tel point qu'on s’en prenne à ses autorités à
chaque fois qu’il fait un pas en avant ?
Le Gabon qui sort d’une Coupe d’Afrique majestueusement organisée, qui loue
aujourd’hui l’arrivée à la tête de son gouvernement (et ce pour le bien de la
démocratie et de l’expression de tous) de quelqu’un qui tranche littéralement
avec les raisons pour lesquelles ses prédécesseurs ont été choisis, voilà qu’il
faut très vite réagir. Et pour ce faire, on ressort des méthodes staliniennes à
travers un usage exubérant de la
désinformation.
A
l’image de cette campagne dans laquelle deux paltoquets de journalistes
se fendent au mot près, des mêmes
chantages et mêmes discours ainsi que les mêmes accusations portées contre
feu le Président OMAR BONGO ONDIMBA. Ainsi naîtra en France par on ne sait quel procédé juridico-journalistique, le délit héréditaire de Patronyme. Autrement dit, il a suffit pour Ali de porter le nom BONGO ONDIMBA pour que les charges médiatico-judiciaires échouées du vivant de son père, lui soient désormais imputées.
Le premier
témoin de cette supercherie n'est autre que cet article paru dans le journal peu scrupuleux "Le Parisien", lequel article aligne au fil des
lignes des noms de personnes, mais jamais à proprement parlé celui du Président ALI BONGO ONDIMBA. Et comme s’il suffisait
qu’un frère ou une sœur soit accusé pour que ce soit lui qui en porte la
responsabilité. Bien sûr, lui est Chef d’Etat, autrement dit le plus en vue.
D’autre
part cette affaire manifestement ne prend son sens que lorsqu’il s’agit de
mettre en cause des africains. A contrario quand un célèbre « french
doctor » reçoit de l’argent pour une soi-disant analyse (chaotique) du
système de santé du Gabon, payé un peu trop grassement (Environ cent à deux cent mille
euros par page de la fameuse étude), cela n’a rien de mal acquis, à ce moment les
intérêts du peuple gabonais s’arrêtent, et ceux-là même qui se prennent pour
les juges de nos valeurs et les procureurs de nos actions cessent d’exercer.
Messieurs les Journalistes, n’avez-vous
donc pas suffisamment à faire et à dire sur vos propres affaires mêlant corruption,
trafic d’influence et même blanchiment d’argent à de très hauts niveaux de
responsabilités (gestion des marchés publics dans le nord, augmentation
faramineuse de salaire du Chef de l’Etat, affaire du Conseil général des Bouches-du-Rhône, juges
mis en examen, emplois fictifs, Fraude électorale, Financement occulte de
campagne électorale par distribution de mallettes dorées et autres)? Le
Président ALI BONGO ONDIMBA en
est-il responsable ? NON !
Vos
objectifs sont clairs et connus de tous Messieurs les Journalistes, mettre à
mal le Gabon devenu pour vous un pestiféré parce que ce pays cherche à disposer
de lui-même, parce que ce pays s’ouvre au monde, parce que ce pays diversifie ses
partenaires économiques et ouvre son marché à la concurrence internationale,
parce que ce pays réussit en l’espace de deux ans à attirer plus de 6 milliards
de dollars d’investissement étrangers (non français), parce que ce pays va de
succès en succès et parce que le Président de ce pays a réussi par les actes, à
imposer le Respect de la communauté internationale et restaurer la confiance du Peuple Gabonais .
Vous
avez trop longtemps profité de nous et
bénéficier de ce complexe que nous avions d’antan face à un grand pays,
mais sachez qu’aujourd’hui le GABON a véritablement changé. Il n’est
plus disposé à servir ni d’arrière base à vos entreprises dont la compétitivité
est de moins en moins perceptible, ni de paillasson à vos consciences. Le
peuple gabonais a élu ses représentants
et dispose de représentations dont vous ne faites heureusement pas partie, car
comme l’aurait dit un candidat à l’élection présidentielle, « vous mentez
matin et soir ».
Ce
n’est pas en écrivant des torchons pareils, en vous attaquant à un Homme intègre,
pragmatique, déterminé, dynamique et dont le courage dans la prise de décision
est salué à l’unanimité par son Peuple, que vous empêcherez le GABON d’avancer.
Ce que le Président ALI BONGO ONDIMBA a créé et suscité en
chacun d’entre nous est beaucoup plus fort que toutes vos objurgations nimbées
de jalousie ! Vous avez tout ou presque chez vous, vous avez construit
votre démocratie et vos régimes dans le sang, personne ne vous l’a reproché.
Vous avez construit vos universités, vos écoles et vos édifices avec notre
argent, celui de nos ressources, personne ne vous l’a reproché.
Aujourd’hui,
laissez-nous la Liberté d’avancer à notre rythme, selon nos méthodes, l’Egalité devant le
développement et sachez qu’attaquer par les ennemis, la Fraternité nous unira.
A bon entendeur...
Auteur: La Jeune
Garde du Gabon Emergent!