FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 07-05-2013 à 06:56:43

Ministère de la Défense Nationale : Signature d’un accord assistance technique avec l’armée américaine

Un accord d’assistance technique a récemment été signé entre les forces armées américaines et gabonaises. A l’initiative du Ministre de la Défense Nationale, Rufin Pacome Ondzounga et de l’ambassadeur des Etats-Unis au Gabon, Eric D. Benjaminson, cet accord a pour but de créer un climat de coopération entre les deux armées et de faire bénéficier le Gabon de l’expertise américaine.
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Dans le cadre de l’impulsion d’une coopération militaire dynamique et productive entre les deux pays, le Ministre gabonais de la Défense, Rufin Pacome Ondzounga et l’ambassadeur des Etats-Unis au Gabon, Eric D. Benjaminson auraient récemment signé un accord militaire d’assistance technique.

Portant essentiellement sur la formation des techniciens de maintenance, cet accord permettra aux militaires gabonais de bénéficier de l’expertise américaine, notamment dans l’entretien des aéronefs de type C 130 de l’armée de l’air du Gabon.

Il contribuera également à rendre l’armée gabonaise moins dépendante de l’assistance extérieure en matière de maintenance de sa flotte aérienne, réduisant ainsi les coûts de celle-ci.

La concrétisation de cet accord sera certainement manœuvrée par le remplaçant d’Eric D. Benjaminson qui lui, quitte le Gabon dans quelques jours après 3 années passées dans le pays.
Publié le 07-05-2013 Source : Gaboneco.com
 


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posté le 07-05-2013 à 06:54:11

PDDAA : Le Gabon prévoit un investissement de près de 400 milliards de F CFA d’ici 2020

Entre 350 et 400 milliards de F CFA. C’est dans cette fourchette que se situe le montant de l’investissement que compte entreprendre le Gabon dans le but de développer son secteur agricole. Cette annonce a été faite hier par le gouvernement gabonais lors de la signature du pacte national du Programme Détaillé pour le Développement de l'Agriculture de l'Afrique (PDDAA).
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« Jusqu’en 2020, on doit investir en moyenne, entre 30 et 40 milliards de F CFA/an pendant 10 ans. Soit 350 à 400 milliards de F CFA pour répondre aux objectifs du Plan Stratégique Gabon Emergent », a expliqué lundi 6 mai, M. Ndong Biyogo, secrétaire de la commission nationale du Programme Détaillé pour le Développement de l’Agriculture de l’Afrique (PDDAA) lors de la signature par le Gabon, du pacte national dudit Programme.

Il a ensuite expliqué que l’objectif à moyen terme pour le Gabon, était d’aboutir à l’élaboration d’un plan national d’investissement agricole de sécurité alimentaire et nutritionnel.

Un plan d’investissement nécessaire, selon lui, pour permettre au Gabon d’atteindre les objectifs qui lui ont été fixés par le PDDAA, à savoir, une croissance agricole de 6%, la réduction du taux de pauvreté d’au moins 50%, ainsi que la réduction de 50% des importations par le pays, de denrées alimentaires.

« Tous les pays africains se sont engagés à mettre 10% de leur budget d’investissement dans le secteur agricole. Le Gabon tourne à ce jour autour de 1% », a-t-il renchéri.

De gros efforts devront donc être consentis par le gouvernement afin de s’arrimer aux exigences du Programme et sortir enfin le pays de sa dépendance envers les produits alimentaires venus d’ailleurs.
Publié le 07-05-2013 Source : Gaboneco.com
 


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posté le 07-05-2013 à 06:49:08

Gestion administrative : Les Inspecteurs Généraux des Services rappelés à leurs missions

Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Raymond Ndong Sima a convoqué, le 3 mai 2013 pour un rappel à leurs devoirs administratifs, les Inspecteurs Généraux des Services (IGS) des différents départements ministériels et services rattachés, ainsi que le Contrôle général d’Etat.

Plantant le décor de ce qui s’est finalement apparenté à un rappel au devoir administratif, Raymond Ndong Sima a déclaré qu’il n’était plus question d’attendre plus longtemps pour recevoir dans leurs intégralités, les rapports de travail des uns et des autres. Il a rappelé qu’il y avait plus de trois mois et demi qu’il avait commis les services du contrôle général d’Etat en vue de lui faire parvenir les rapports d’activités des différentes administrations.

Aussi, a-t-il convoqué la présente rencontre à fin de redéfinir les rôles de chacun dans la gestion et le contrôle de l’action de l’administration en général. Pour le Premier ministre, il y avait en filigrane deux aspects qui posaient problème. Celui lié à l’affectation ou non et l’utilisation des agents, ainsi que celui du parc automobile.

Le premier ministre a dit qu’il ne comprenait pas pourquoi certains agents de l’Etat recruté et payé n’étaient ni affectés encore moins utilisés suivant leurs qualification. Il s’est insurgé contre cette façon de gérer les ressources humaines qui n’entre nullement dans le plan de dynamisation de la Fonction publique. C’est donc pour avoir de plus amples informations que Raymond Ndong Sima a donné la parole à qui voulait la prendre. Le premier à réagir fut M. Dossou Jean François, Inspection général des services au ministère du Budget.

Il a évoqué les difficultés auxquelles est confrontée l’inspection au point de se voir être rappelé à l’ordre par le secrétaire général sous prétexte qu’il marcherait sur ses plates-bandes. Il a indiqué qu’en l’état, l’IGS travaillait en étroite collaboration avec toutes les directions et que, contrairement à ce que l’on peut croire, l’IGS du ministère du Budget a fait le point de ses activités même s’il n’est pas exhaustif.

S’agissant de la gestion du parc automobile, il a laissé entendre que celui du ministère du Budget était suivi par les agents affectés à l’IGS. Autre intervenant, l’inspecteur général des services du ministère de l’Intérieur, M. Zogo Essono Rémy qui est revenu sur la problématique de la gestion du parc automobile évoqué par le Premier ministre qui a le temps d’écouter les différents interlocuteurs. Quant à l’IGS de la Sécurité pénitentiaire, elle a déploré le manque de moyens pouvant lui permettre d’effectuer des missions dans les représentations de cette administration dans les neuf provinces du Gabon. Elle a dit que la volonté seule ne suffisait pas pour mener à bien sa mission. Elle a aussi relevé l’absence des moyens roulants suivant la responsabilité qui incombe aux officiers supérieurs.

Après avoir écouté les uns et les autres, le Premier ministre a tenu d’abord à détendre l’atmosphère en retraçant le cadre de cette séance de travail. Il a dit qu’il ne fallait pas confondre les rôles dans une administration. Celui d’un Secrétaire général à celui de l’IGS. D’après ses explications, chacun devra et doit faire son travail sans chevauchement. Il a rappelé que la gestion et l’affectation du personnel n’étaient nullement l’affaire de l’IGS. Il devra plutôt se confiner dans son rôle de contrôleur de l’activité et de l’utilisation des crédits et autres biens de service alloués au ministère. Raymond Ndong Sima a dit que la situation actuelle des IGS était un problème de fonctionnement car, le Contrôle d’Etat n’assurant pas correctement le relai avec les IGS, il ne saurait avoir un véritable suivi des agents. Le Chef du gouvernement a signifié aux IGS de ne pas être juge et partie afin de ne pas confondre le rôle qui est le sien.

Il doit se confiner sur l’effectivement des personnes et des moyens affectés au ministère. Un vérificateur de ce qui y est affecté ; un genre de qui est où ? Et qui fait quoi ? S’agissant du parc automobile, l’IGS doit savoir si les véhicules affectés sont effectivement utilisés pour les besoins de la cause. Il doit aussi être au courant ceux reformés ont perdu l’immunité de l’immatriculation de l’Etat. Pour Raymond Ndong Sima, les ambiguïtés doivent disparaître à partir du moment où chacun joue sa partition dans le fonctionnement du ministère. Le Premier ministre a tenu a rappelé aux IGS leurs mission premières. Il a martelé que la gestion du personnel n’était pas de leur ressort.

En somme, ils sont chargés de contrôler et de suivre la régularité de l’activité au sein des administrations. Raymond Ndong Sima a par ailleurs rappelé aux IGS qu’ils étaient des auditeurs internes des administrations et qu’ils ne devraient pas se substituer aux Secrétaires généraux, encore moins aux directeurs, seuls responsables de la gestion au quotidien de l’administration.

Avant de lever la séance, le Chef du gouvernement a enjoint le Contrôle d’Etat à lui produire un manuel de procédure dans un délai relativement court et qui contiendra les activités des IGS mensuellement, trimestriellement, semestriellement et même annuellement.

Junior MBOULET



 


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