FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 05-09-2012 à 11:40:42

UN CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL UTILE POUR L'AVENIR

« Faire du Conseil Economique et Social une institution utile », ce sont les premiers mots de Paul Biyoghe que l'Histoire gardera de son passage à la tête du CES et sur lesquels il sera nécessairement jugé à la fin de sa présidence. 
 
 

Créé en 1959 et dirigé notamment par Paul Indjedjet Gondjout, Jean Jacques Boucavel et tout récemment Antoine Depadoue Mboumbou Miyakou, le CES a un rôle de conseiller de la République. Malheureusement, à l'analyse de son nouveau président « l'institution ne compte pas et seuls 3% avis ont été pris en compte en plus de cinquante ans d'existence ».

 

Paul Biyoghe Mba a invité ses collègues conseillers à beaucoup d'engagements pour que dans l'avenir le gouvernement et le Chef de l'Etat lui-même entrent dans une nouvelle confiance et redonnent au CES la place qui doit être la sienne.

 

Paul Biyoghe Mba a également évoqué « la situation politique délétère qui prévaut au Gabon » et considéré que « si la proposition d'une conférence nationale souveraine est mal présentée dans la forme », elle mérite tout de même d'être examinée dans le fond. Mais le Président du CES estime qu'au préalable « les défenseurs d'une telle idée doivent d'abord reconnaître les institutions en place » et penser à une alternance démocratique notamment en 2016. Mais pour sa part, il n'y a « aucun inconvénient à envisager une consultation nationale ».

 

Au cours de la session qui s'est ouverte ce mardi, plusieurs ateliers et travaux permettront de prendre la mesure de l'engagement de la nouvelle mandature qui a l'ambition de donner une posture « utile » au Ces dans le développement du Gabon.

 

 


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posté le 05-09-2012 à 11:34:03

Plus de 12 300 PME au Gabon en 2011

 Le Gabon comptait en 2011 12 300 Petites et moyennes entreprises (PME), selon une étude réalisée par la Direction générale des Impôts (DGI) du ministère de l'Economie, citée par un communiqué de la présidence de la République gabonaise.

Le communiqué fait état d'une « explosion » du nombre des PME qui a augmenté au Gabon de 22,3%, entre 2010 et 2012.
 

 

Trois provinces sont particulièrement concernées par cette hausse, notamment la province de la Nyanga (sud) où le nombre de PME a augmenté de +37,9 %), l'Ogooué-Ivindo (nord-est) avec une hausse de +36,5%, et l'Ogooué-Lolo (centre-sud-est) où l'augmentation s'établit à +29%.

 

La hausse des PME est particulièrement importante dans les secteurs de l'informatique et le commerce (commerce de détail spécialisé, commerce de gros et l'importation), avec respectivement des augmentations de 23,5 et 21%.

Par ailleurs, la mesure interdisant l'exportation du bois sous forme de grumes, prise par le gouvernement gabonais en 2010, a permis la création de 33 entreprises de transformation du bois.

 

La vente du bois débité est passée de 166 millions de dollars en 2009 à 340 millions de dollars US en 2011.

3.173 emplois directs ont été créés dans le secteur, souligne le communiqué citant toujours l'étude réalisée par la DGI.

 

En outre, la politique de « gabonisation » des sous-traitants a poussé les entreprises étrangères à travailler avec des PME nationales, tandis que les démarches administratives pour la création d'entreprises ont été largement facilitées.

La création du Centre de développement des entreprises (CDE) avec son guichet unique permet désormais de créer une entreprise au Gabon en 10 jours contre 58 jours auparavant.

 

Diversification et ouverture ont clairement crée un climat favorable aux affaires qui bénéficie directement au tissu économique national, des données encourageantes qui réclament des outils statistiques et analytiques, poursuit le document.

 

En 2012, une enquête sera menée sur la part réelle de la PME gabonaise, la répartition des effectifs par secteurs d'activités, par chiffre d'affaires et par localité, la nationalité des chefs d'entreprises et le nombre de salariés, autant de variables visant à améliorer la visibilité et la lisibilité du climat des affaires.

L'étude ciblera particulièrement les secteurs de la pêche, du bois, du pétrole, des assurances et des banques, conclut le communiqué.

 

 


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posté le 05-09-2012 à 11:20:59

LE PRÉSIDENT ALI BONGO ONDIMBA A REÇU EN AUDIENCE GUILLAUME SORO KIGBAFORI

Avant de mettre fin à son séjour à Libreville, le Président de l'Assemblée nationale ivoirienne, l'honorable Guillaume Soro Kigbafori, a été reçu par le Chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba au Palais de la Présidence de la République. 

 

Arrivé dans la capitale gabonaise dans le cadre de l'ouverture de la deuxième session du Parlement que préside l'honorable Guy Nzouba Ndama, c'est un Soro détendu, accompagné de son homologue, qui s'est entretenu avec le numéro un gabonais. L'objectif était de faire le point des activités, notamment les échanges liés à la coopération et à la diplomatie parlementaires. Ali Bongo Ondimba et son hôte n'ont pas manqué de discuter de l'état de santé de la Côte-d'Ivoire, tant sur le plan social que politique. Ils ont ainsi noté avec soulagement que ce pays se porte de mieux en mieux. A l'heure actuelle, les responsables politiques et administratifs ivoiriens, tournés vers la rentrée universitaire, s'attellent à restaurer les infrastructures pour permettre aux étudiants de reprendre les cours dans un contexte amélioré et serein. D'où le déblocage par les autorités gouvernementales de la bagatelle de 110 milliards de francs CFA.
 
En abordant les sujets portant sur la démocratie et la bonne gouvernance, le Président gabonais et l'honorable Guillaume Soro Kigbafori ont reconnu que l'Afrique était engagée dans une marche vers un développement qui exige une synergie à l'échelle panafricaine. C'est ce processus qui a conduit le Chef de l'Etat ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, à tendre la main à ses compatriotes pour bâtir un pays qui se doit d'être fiable. C'est ce processus qui a amené le Président de l'Assemblée nationale ivoirienne à se rapprocher d'Ali Bongo Ondimba et des parlementaires gabonais. Ces échanges, à n'en point douter, sont une valeur ajoutée aux efforts déjà consentis pour faire de l'Afrique un continent où règnent la paix et la justice.
Willy NDONG ONDO, Presse présidentielle.

 

 


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