FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 23-01-2013 à 22:37:32

La SNI promet 3 808 nouveaux logements

La Société nationale immobilière (SNI, service public) entame dès 2013 la construction de 3 808 nouveaux logements dans plusieurs villes du pays grâce à un prêt bancaire et à des dotations budgétaires de l'Etat, indique un communiqué de l'entreprise.
 

 

« Le projet comprend 2 504 logements individuels en accession directe à la propriété et 1 304 appartements en locatif », précise le communiqué.

 

Le financement provient d'un prêt obtenu auprès de BGFIBANK, un groupe bancaire gabonais à vocation internationale et des budgets de l'Etat, ajoute le texte sans préciser le coût du projet, le montant du prêt de BGFIBANK ainsi que la durée des travaux.

 

« Cet investissement public participe de l'effort du gouvernement en faveur d'un logement décent pour tous conformément aux engagements du président de la République », explique la SNI.

 

« Les conditions d'acquisition des logements feront l'objet d'une large communication (...) tout comme les modalités de location des appartements », averti le communiqué.

 

Les villes concernées par le projet sont Libreville, Nkok, Owendo, Franceville, Moanda, Lambaréné, Mouila, Tchibanga, Makokou, Koula-Moutou, Port-Gentil et Oyem.

 

La SNI ne précise pas si son projet intègre aussi celui du président de la République qui avait promis bâtir 5 000 logements par an durant son premier mandat de 7 ans débuté en octobre 2009.

 

Pays peu peuplé (1,5 million d'habitants), le Gabon accuse un déficit d'environ 150 000 logements, selon des statistiques du ministère de l'habitat.

 

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Source:GABONACTU

 


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posté le 23-01-2013 à 14:10:30

Concertation entre le President de la Republique et la classe politique

Comme il l'avait promis lors de la présentation des vœux de Nouvel An, le Président de la République, Chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba a réuni, le 22 janvier 2013 à Libreville, la classe politique nationale afin de réfléchir sur la suite à donner, par apport à la présidence gabonaise de la Cemac, l'implication et l'accord de tous sur les modalités de la mise en application de la Biométrie dans le système électoral national, sans oublier la réactualisation en vue de son opérationnalité, du Conseil National de la Démocratie (CND).
 

 

L'opposition et la Majorité sont venus très nombreux et pris d'assaut, la salle de spectacles de la Cité de la Démocratie afin de prendre part à la concertation politique initiée par le Chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba. Aux côtés des membres du gouvernement conduits par le Premier ministre, Chef du gouvernement, Raymond Ndong Sima, il y avait plusieurs personnalités dont les représentants de l'Assemblée Nationale en la personne du Professeur Daniel Ona Ondo, du Senat, par Léonard Andjembé, le Conseil Economique et Social (C.E.S), par son Président Paul Biyoghé Mba et le Président du Conseil National de la Communication (CNC), Guy Bertrand Mapangou.

 

Dans son allocution de circonstance, Ali Bongo Ondimba qui s'est réjoui de la promptitude avec laquelle les uns et les autres avaient répondu massivement à son invitation a salué l'esprit républicain qui les a animés et a précisé que l'intérêt supérieur de la nation avait primé sur les considérations politiciennes. Il a par la suite expliqué les enjeux de la présente rencontre tout en souhaitant que chacun s'extirpe et donne le meilleur de lui-même en vue de faire avancer les dossiers proposés.

 

 

Rappelant au passage les circonstances ayant milité pour la remise à l'état des rudiments de la Démocratie, il a déploré que les contestations permanentes aux sorties des consultations aient malheureusement éloigné les citoyens des urnes, au point de les détourner purement de la politique. Il a rappelé que, depuis les accords de Paris, suivis de celles d'Arambo, plusieurs entités (CNE, CENAP) qui se sont succédées ont connu des fortunes diverses avec à chaque fois, des récriminations des hommes politiques.

 

Pour le Chef de l'Etat, le changement à répétition des arbitres n'a pas toujours facilité l'acceptation des résultats des votes et ce, malgré la bonne volonté et la qualification avérée des différents acteurs. D'où la nécessité pour tous de s'accorder en vue de la mise en branle de la biométrie dans le système électoral actuel.

 

Pour ce qui concerne le Conseil National de la Démocratie (CND), Ali Bongo Ondimba a déclaré qu'il pouvait représenter un cadre idéal d'échanges entre acteurs en vue de garantir un débat contradictoire ; lui-même important pour la vitalité d'une démocratie. De même que le Chef de l'Etat a laissé entendre que nulle part au monde, la Démocratie n'était une œuvre achevée car, elle nécessite une amélioration quotidienne.

 

Quant à la mise en place de la commission nationale de la Cemac, Ali Bongo Ondimba a manifesté un intérêt capital en ce que les enjeux communautaires étaient importants pour le rayonnement du Gabon sur le plan international. Il a pour cela invité les différents acteurs à prendre à bras le corps cette invite afin de rehausser, comme l'avait toujours fait en son temps, son prédécesseur à la tête de l'Etat, le flambeau diplomatique du Gabon.

 

Il a aussi demandé à ses interlocuteurs de lui proposer une feuille de route Cemac à même de répondre aux aspirations des intérêts régionaux. Au terme de son allocution, les représentants de chaque bord politique se sont exprimés sur les attentes du Chef de l'Etat.

 

Le premier à prendre la parole fut le Secrétaire Permanent de la Majorité Républicaine pour l'Emergence, M. Faustin Boukoubi. Il a regretté qu'aucun camp n'ait été averti pour l'intervention durant la présente cérémonie. Il a cependant exprimé la gratitude de la majorité envers le Chef de l'Etat et a salué son initiative qui va dans le sens de raviver le dialogue entre les acteurs politiques nationaux. Pour lui, le cadre de concertation patriotique ne peut qu'être louable dans la mesure où il démontre que, bien que chacun ait sa manière, tous aiment le Gabon. In fine, nul n'a le monopole de l'amour du Gabon.

 

Pour Maître Louis Gaston Mayila qui s'exprimait au nom de l'Union des Forces du Changement (UFC), l'initiative du Chef de l'Etat est salutaire et devrait être encouragée par tous car, c'est une aubaine pour les différents acteurs politiques d'échanger sur les principaux sujets à l'ordre du jour. Aussi, a-t-il félicité ceux des acteurs ayant répondu à l'appel du Président de la République. Il a par ailleurs affirmé que son groupe apportera sa modeste contribution dans les différentes commissions afin d'atteindre des objectifs escomptés.

 

Au terme des interventions des uns et des autres, le Président de la République a procédé à l'installation du Président de la Commission nationale de la présidence du Gabon à la Cemac en la personne de M.Jean Pierre Lemboumba Lepandou. Il a donné quelques indications aux membres des différentes commissions en leur proposant de faire appel, si possible, aux compétences neutres en vue de maximiser le résultat de leurs travaux.

 

Il faut rappeler que les commissions seront composées de dix membres pour chaque camp, soit 20 personnes au total et que les conclusions générales pourront être remises vers le 15 février 2013.

 

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Source: Gouvernement Gabonais

 

 


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posté le 21-01-2013 à 13:54:03

Ali Bongo Ondimba consulte la classe politique dès mardi prochain

Le président de la République gabonais, Ali Bongo Ondimba, lance dès  mardi prochain, à Libreville une concertation politique sur l'usage de la biométrie lors des élections au Gabon et l'intégration sous régionale.

 


Une commission des experts du gouvernement, de la majorité et de l'opposition va travailler deux semaines durant autour du Premier ministre, Raymond Ndong Sima en vue de parvenir à un compromis sur l'usage controversé de la biométrie pendant les élections à venir dans le pays.

 

L'opposition gabonaise reproche entres autres, au gouvernement d'avoir choisi unilatéralement l'entreprise chargée de définir les termes de référence de la "bio métrisation".

 

Un désaccord subsiste par ailleurs sur l'authentification électronique de l'électeur le jour du vote et l'interconnexion des différents centres de vote à l'échelle nationale.

 

Cette concertation a entre autre pour objectif de recueillir les avis de la classe politique gabonaise sur l'intégration en zone Cemac et de recevoir des suggestions sur la reforme du Conseil nationale de la démocratie (CND).

 

Au cours de cette rencontre, la classes politique va également statuer sur la commission Cémac, un cadre de concertation multipartiste voulu par le chef de l'Etat gabonais, pour définir une politique concertée de la présidence gabonaise de la Commission économique et monétaire de l'Afrique centrale.

 

 


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