FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 07-05-2013 à 06:47:09

Le Gabon et les Nations Unies renforcent leur engagement

 

Le Gabon émergent et les Nations Unies sont déterminés à avancer ensemble. C’est ce qui ressort en substance de l’entretien que le Président Ali Bongo Ondimba a accordé à Marie-Evelyne Pétrus-Barry.

Mme le coordonnateur résident du Système des Nations Unies est allée rencontrer le numéro un gabonais pour lui garantir le soutien de l’organisation internationale qu’elle représente. Les efforts déployés ces dernières années par les autorités et l’enthousiasme des populations, toutes catégories confondues, face à l’avenir, sont des indicateurs qui ont conduit les partenaires au développement à renforcer leur engagement afin d’accompagner le Gabon dans la mise en œuvre de son Plan stratégique.

Ce soutien s’inscrit dans des domaines variés, tels que la santé et l’éducation qui figurent en bonne place dans les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Mieux, les agences spécialisées du Système des Nations Unies entendent apporter leur expertise pour asseoir la bonne gouvernance, lutter contre l’enrichissement illicite et la corruption, avec des appuis spécifiques aux collectivités locales.

Par Willy NDONG ONDO, Presse présidentielle.

 


Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
aucun commentaire
 
 
posté le 07-05-2013 à 06:43:24

Nkoghé Békalé : «Le succès de l’émergence reposera sur le développement de l’agriculture»

Le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Pêche et du Développement rural, Julien Nkoghé Békalé, vient de donner un coup d’accélérateur à l’essor agricole au Gabon avec la ratification, entre l’État et ses partenaires au développement, ce 6 mai 2013, du Pacte national du Programme détaillé du développement de l’agriculture africaine (PDDAA) du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Nepad).

Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Ida Reteno Assonouet, a présidé ce 6 mai 2013 en lieu et place du Premier ministre Raymond Ndong Sima, la cérémonie de signature du pacte national du PDDAA devant déboucher sur la table ronde des bailleurs de fonds pour les financements concertés des projets et programmes agricoles au Gabon, dont l’objectif est de doper et dynamiser la production agricole nationale.

Le gouvernement, avec le patron de l’agriculture, le secteur privé et les partenaires au développement (la Banque mondiale, la Communauté économique des États de l’Afrique central), les coopératives agricoles, ont tous répondu présent à ce rendez-vous qui permet de poser les bases des actions futures, concrètes et réalistes pour l’essor agricole gabonais.

Par la ratification de ce pacte, les partis signataires ont réaffirmé leur engagement pour la concrétisation et la réussite des sept axes prioritaires susceptibles de favoriser la réalisation, à l’horizon 2020, des objectifs de croissance de la production agricole, la diminution des importations des denrées alimentaires, la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté. Ces axes concernent l’amélioration durable de la production agricole, le développement des pêches et de l’aquaculture, l’amélioration de l’accès à la terre et au financement, le renforcement du système de collecte et de commercialisation des produits agricoles, l’amélioration du système de gestion des informations et des innovations, l’amélioration de l’état nutritionnel, le développement institutionnel et des ressources humaines ainsi que la promotion des femmes et des jeunes.

«Ces axes sont en harmonie avec les priorités nationales définies dans les orientations politiques et stratégiques, notamment le Plan stratégique Gabon émergent (PSGE), la Nouvelle politique agricole du Gabon (NPAG), la Politique agricole de sécurité alimentaire et de croissance (PASAC), le Programme national de sécurité alimentaire (PNSA), le Plan directeur de développement intégré de la pêche artisanale (PDDIPA), la stratégie nationale et le plan d’actions pour le développement du secteur des produits forestiers non ligneux», a rassuré Julien Nkoghé Békalé.

«La mise en œuvre du PDDAA est un processus consensuel et participatif dont l’objectif final est l’adoption par le gouvernement d’un programme national d’investissement agricole et de sécurité alimentaire et nutritionnel. Avec ce programme le Gabon disposera désormais d’un plan d’action à court moyen et long terme permettant de faire passer le Gabon du statut de pays à vocation agricole au statut de pays agricole», a indiqué le ministre de l’Agriculture.

Selon le représentant du secteur privé, Jean-Baptiste Bikalou, la réussite du PDDAA permettra de montrer un autre visage de la coopération et de l’intégration africaine, mais il contribuera également à la réalisation du rêve de la prospérité partagé pour tous les Gabonais à l’horizon 2025.

«Nous disposons de potentiels agricoles énormes. Nous avons tous les outils en mains pour réussir notre envol agricole. Ma ferme et ultime conviction est que le succès de l’émergence du Gabon, repose et reposera sur le développement de l’agriculture», a confié Julien Nkoghé Békalé en guise de conclusion.

Ce pacte national fixe les paramètres d’un partenariat à long terme dans le secteur agricole et spécifie les principaux engagements du gouvernement et des partenaires au développement et enfin, il clarifie les attentes des producteurs agricoles. Par l’acte de signature, le Gabon devient le 4e pays des 10 États membres de la CEEAC à intégrer la classe de ceux ayant déjà signé cette initiative du Nepad dont l’objectif est d’éradiquer la faim et réduire la pauvreté grâce à l’agriculture. Pour cela un seul défi : consacrer au moins 10% du budget national au développement de l’agriculture et atteindre une croissance agricole annuelle de 6%, conformément aux recommandations du sommet de l’Union Africaine à Maputo en juillet 2003.

Source : GABONREVIEW

 


Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
aucun commentaire
 
 
posté le 29-04-2013 à 08:20:51

Une nouvelle étape du projet industriel du Gabon Emergent

Sous l’impulsion du Prédisent de la République, le chef de l’Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, le Gouvernement à travers le Ministère de l’Industrie et des Mines a organisé du 26 au 28 avril 2013 le 1er Forum national de l'industrie. Cet événement constitue une initiative concrète majeure de mise en œuvre de la vision du président Ali Bongo Ondimba pour le développement du Gabon mais aussi et surtout de la place de l’industrie dans la marche vers l’émergence.

 

 

C’est donc près de 700 participants qui ont pu échanger, partager et, surtout, s’engager à accélérer la mise en œuvre du Plan Stratégique du Gabon Emergent. Ces participants de tous horizons, responsables de l’administration, représentants du secteur privé, représentants des partenaires économiques et financiers, mais aussi d’éminentes personnalités du monde universitaire, des représentants des ONG et de la société civile, reconnaissant la cohérence de la démarche du PSGE, ont globalement adhéré à la stratégie nationale d’industrialisation, SNI.

 

 

En effet, le Gabon n'a que douze années devant lui pour avoir un secteur industriel performant et de référence. L'année 2025 étant l'année fixée par  le Président Ali Bongo Ondimba pour faire de ce secteur le moteur de la croissance.

 

Il faudra donc 17.000 milliards de FCFA pour atteindre les objectifs fixés dans la Stratégie Nationale d'Industrialisation (SNI), soit près de 1500 milliards par an. Un effort nécessaire que le gouvernement assure vouloir fournir car l'ambition est de rendre le Gabon moins dépendant de pétrole ou même totalement indépendant puisque la SNI prévoit que l'industrie rapporte d'ici 2025 en moyenne 3.300 milliards au Produit Intérieur Brut (PIB).

 

 

Les chantiers sont donc nombreux. Et les ressources aussi. Le bois, le fer, l'or, le niobium, le tantale, le manganèse ou la pêche sont susceptibles d'être traités de façon industrielle. Il y a aussi à côté, tous les efforts consentis depuis quatre ans. La Zone Economique et Spéciale de Nkok qui devrait contribuer admirablement au développement de certaines industries, mais il y a aussi les projets d'Olam ou de SIAT qui apparaissent comme des projets majeurs même si les projets d'Olam notamment font l'objet de polémiques notamment dans le Woleu-Ntem.

 

C’est dire que le Gabon est déterminé à s’affirmer de plus en plus comme un pays disposant d’un environnement des affaires de classe internationale, d’un cadre d’expression modernisé des entreprises dont la promotion devra permettre d’améliorer la compétitivité et l’insertion de davantage d’intérêts gabonais dans le développement.

 


Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
aucun commentaire
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article