FEDERATION P.D.G SENEGAL

posté le 05-11-2012 à 13:01:38

Communiqué Final du Conseil des Ministres du Vendredi 02 Novembre 2012

A l’entame des travaux, le Conseil des Ministres a vivement salué la détermination opiniâtre de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui, inlassablement, depuis son accession à la Magistrature Suprême, sillonne le territoire gabonais et les continents pour le rayonnement de notre cher pays, nouant des partenariats pour le développement du Gabon dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’énergie, de l’ habitat, des mines, de la protection de l’environnement ; prospectant les meilleures opportunités pour répondre dans les délais les plus raisonnables aux attentes existentielles et légitimes des populations.

 

 

Le Conseil des Ministres a noté avec satisfaction que le Président de la République, Chef de l’Etat démontre à suffisance l’ambition de voir se concrétiser le Programme Stratégique Gabon Emergent, confirmant ainsi que, seul, l’intérêt supérieur de la nation prédomine ; le bien-être des populations prévaut et que la paix est un trésor qu’on ne peut trop louer.

 

Aussi, le Conseil des Ministres réitère-t-il vivement l’adresse aux gabonaises et gabonais, à poursuivre à l’unisson, dans le respect des institutions, l’édification du Gabon Emergent.

 

La gouvernance de proximité du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA l’a conduit dans le plus grand marché de notre capitale et ses environs pour constater in situ et de visu l’effectivité des mesures prises en Conseil des Ministres aux fins d’alléger le panier de la ménagère.

 

Face au constat mitigé du Président de la République, Chef de l’Etat, le Conseil des Ministres a pris acte des mesures urgentes à mettre en œuvre pour la pratique d’une réduction des coûts des produits de première nécessité.

 

Le Conseil des Ministres s’est ensuite réjoui de la mise en œuvre d’une résolution de grande importance adoptée lors du Conseil des Ministres du 15 Septembre 2011.

 

En effet, dans le cadre du partenariat public privé avec la Compagnie Minière de l’Ogooué, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a posé la première pierre de l’Ecole des Mines et de  Métallurgie de Moanda, évènement phare commémorant le cinquantième anniversaire du Groupe ERAMET COMILOG.

 

La prochaine école à vocation régionale témoigne, s’il en était encore besoin, que la formation des gabonais et la lutte contre le chômage demeurent une des préoccupations du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, conformément à l’axe n° 9 de notre Programme de Société « l’Avenir en Confiance ».

 

Un autre défi est à relever dans le cadre du partenariat Etat gabonais/ Groupe ERAMET COMILOG dans la transformation sur place, à Lambaréné, du niobium, des terres rares, d’uranium, projet tant attendu car porteur et générateur d’emplois.

 

Sur le plan international, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux assises du Sommet de la francophonie à Kinshasa.

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, était accompagné de la Première Dame.

 

Pour le Conseil des Ministres, le Gabon, membre fondateur de cette Organisation, a marqué par la forte présence du  Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, tout l’engagement de notre pays dans le concert des Nations francophones.

 

Ce Sommet qui a regroupé soixante quinze (75) pays, Etats membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie a débattu de grandes préoccupations au-delà même de la francophonie autour du thème central « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à une gouvernance mondiale ».

 

Outre la question des droits de l’homme, l’impunité, la démocratie, d’autres questions préoccupantes ont été soulevées, notamment, celles des crises qui sévissent dans certains pays essentiellement :

 

-         au Mali et la nécessité d’engager une force de maintien de la paix dans le Nord de ce pays ;

 

-        les divergences entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo.

 

Le Conseil des Ministres a salué la vision pragmatique et futuriste du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui confirme l’introduction de l’anglais dans le programme scolaire dès les classes primaires.

 

Le Conseil des Ministres affirme que notre pays sous la haute impulsion du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, s’est ouvert à l’international et doit s’adapter aux défis futurs du Gabon Emergent.

 

Le Conseil des Ministres s’approprie cette mesure qui renforce les aptitudes du Gabon Emergent sans rejet de l’idéal francophone.

 

Par ailleurs, à l’invitation de la Commission Européenne, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux travaux des 7èmes Journées européennes de développement aux côtés de ses pairs africains.

 

De plus, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a profité de cette auguste tribune d’échanges auquel le Gabon appartient, depuis sa création, à faire entendre la voix de notre cher pays grâce à la promotion du Programme de Société « l’Avenir en Confiance ».

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a décliné les réformes multisectorielles initiées, bien perceptibles pour le développement de notre pays et le bien-être des populations.

 

De plus, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part au Forum Mondial sur l’énergie à Dubaï.

 

Devant une vingtaine de Chefs d’Etat, le Président de la République, Chef de l’Etat a fortement suggéré la création d’un fonds africain pour l’énergie et les infrastructures.

 

L’argumentaire développé par le Président de la République, Chef de l’Etat a pour objectif de réduire la fracture entre l’Occident et le Sud.

 

L’Afrique est pour sûr, un vieux continent d’avenir. Les grandes lignes de la vision énergétique du Gabon énoncées par le  Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, sont conformes aux prescriptions du Pilier Gabon Vert et à la nécessité urgente de garantir à toutes les populations l’énergie placée au centre du développement.

 

Les lignes de la vision énergétique du Gabon déclinées par le Président de la République, Chef de l’Etat consiste à doubler la capacité énergétique en 2013 pour produire 1200 méga watt à l’horizon 2020.

 

 

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET  REGLEMENTAIRES

 

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a adopté, le projet de loi fixant le cadre d’exercice de la profession d’Avocat en République Gabonaise.

 

Pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, le texte suscité est subdivisé en neuf (9) chapitres qui traitent outre les dispositions générales :

 

·       du statut et des prérogatives de l’Avocat ;

 

·       de l’admission au barreau, du stage, de l’inscription au tableau, de l’omission, de la radiation et de l’installation ;

 

·       des incompatibilités, restrictions, empêchements et obligations ;

·       de l’organisation ;

 

·       des garanties et des devoirs liés à la déontologie de la profession ;

·       du régime disciplinaire ;

 

·       de la sécurité des fonds et de l’assurance ;

 

·       des dispositions diverses et finales.

 

 

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant application du système Licence, Master, Doctorat dans les établissements d’enseignement supérieur en République Gabonaise.

 

Ce texte vise à harmoniser les questions pédagogiques au niveau de toutes les universités et établissements d’enseignement supérieur. Il dispose également de ce que le passage conditionnel est désormais admis lorsque l’étudiant a obtenu 75 % des unités d’enseignements représentant au moins 80 %  des crédits des semestres et la compensation à l’intérieur d’une même unité d’enseignement est autorisée.

 

Par ailleurs, le passage d’un cycle à un autre est subordonné à l’obtention du diplôme du cycle précédent. Enfin, le texte fixe le séjour à l’intérieur de chaque cycle.

 

 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, le rapport initial du Gabon sur la mise en œuvre de la Charte africaine des Droits de l’homme et des peuples (1986-2012). Ce document a été élaboré en prenant en compte les contributions des Institutions gouvernementales et non gouvernementales retenues dans le décret n° 000102/PR/MDHLCCLCI du 15 Janvier 2007 portant création et organisation du Comité national de rédaction des rapports sur les droits humains.

 

 MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI  ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Le Ministre a informé le Conseil des Ministres, de ce que la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS) procèdera, à compter du Lundi 05 Novembre 2012, au paiement des allocations familiales et de rentrée scolaire aux gabonais économiquement faibles, sur l’ensemble du territoire national. Le montant débloqué par l’Etat pour cette échéance est de 4.580.193.000 F CFA qui se décompose en :

 

·       4.031.088.000 F CFA pour les allocations familiales ;

·       549.105.000 F CFA pour les allocations de rentrée scolaire.

 

 

AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES

 

 

MINISTERE DE LA SANTE

 

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a autorisé l’organisation, en partenariat avec le Bureau Régional de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS AFRO), le Centre de Contrôle des Maladies des Etats-Unis (CDC) et le Centre de Contrôle des Maladies de la Chine, d’une Conférence sur le concept « une seule santé » qui se tiendra, du 12 au 14 Novembre 2012 à Libreville.

 

Au cours de cette rencontre, les thèmes suivants seront abordés :

 

·       compréhension de l’interface entre santé animale, santé humaine et environnement ;

 

·       préventions et riposte des menaces d’anthropozoomoses émergentes.

 

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

 

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour l’organisation, du 15 au 16 Décembre 2012, de la Conférence des Parlementaires des pays ACP et des Parlementaires Européens sur le développement du processus FLEGT dans les pays producteurs et exportateurs de bois.

 

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. 

 

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

 

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

 

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

 

CABINET DE LA PREMIERE DAME

 

-        Attachée de Presse : Mme Lisa Marie BONGOTHA, précédemment en service à la Cour Constitutionnelle.

 

MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

 

 

DIRECTION GENERALE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Directeur Général : M. MVOME-NZE Edouard, Docteur en Géographie.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

-        Mme MBOUMBOU BOUANGA Célestine, Ingénieur Géographe.

 

-        M. KOMBILA MOUSSAVOU Brant, Juriste urbaniste.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

·       Mme AYANG Léa Augustine.

 

·       M. MANGONGO BOUNGUEDZA Yves, Administrateur Civil.

 

 

DIRECTION DE L’URBANISME

 

 

-          Directeur : M. NGODJO Guy-Félix, Architecte MBA.

 

 

SSERVICE DES ETUDES D’URBANISME

 

 

-        Chef de Service : M. BABOLONGO Igor Davy, Ingénieur.

 

SSERVICE DES ARCHIVES ET DE LA DOCUMENTATION

 

-         Chef de Service : Mme ANGUE MBA Véronique, Archiviste.

 

 

SSERVICE DES EQUIPEMENTS URBAINS

 

-        Chef de Service : Mme MOUSSOUNDA MOUSSIALLY Linda Carine, Ingénieur Aménagiste-Urbaniste.

 

 

DDIRECTION DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-          Directeur : M. MOUNZIEGOU MIHINDOU Didier, Ingénieur Génie Civil.

 

SERVICE ETUDES DE LOTISSEMENTS

 

 

-          Chef de Service : M. MAVOUNGOU Bernard, Architecte.

 

 

SSERVICE DE CONTRÔLE DES TRAVAUX DE LOTISSEMENTS

 

 

-          Chef de Service : M.  ASSOUMOU Augustin Steeve, Ingénieur Géographe.

 

 

SSERVICE DES TRAVAUX D’AMENAGEMENT DE TERRAINS

 

 

-         Chef de Service : M. IWANGOU MAPANGOU Ghislain, Ingénieur Géographe.

 

 

DDIRECTION DES ENQUETES SOCIO-ECONOMIQUES

 

 

-          Directeur : M. BINANGA Jean Marie, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DES ENQUÊTES SOCIO-ECONOMIQUES

 

-          Chef de Service : M. MENGUE NDONG Constant, Architecte-Urbaniste.

 

 

SSERVICE DES CONSTATS DES INFRACTIONS

 

-        Chef de Service : M. ROGOVENY Jean René, Urbaniste.

 

-          Chef de Service de la Statistique Urbaine : M. POUGHIDI NDZOGHA Axel Terrence, Ingénieur Statisticien Economiste.

 

DDIRECTION GENERALE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-         Directeur Général : Monsieur MIPOHAN Basile, Ingénieur Géographe.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints : 

 

MM.

 

·       BIYOGHO BI ONDO Bernard Barthelemy, Architecte ;

 

·       MBOUMBA Modeste, Ingénieur Cartographe, Géomaticien.

 

-         Chargés d’Etudes :

 

·       M. RAGNOGANDI Gildas Davy, Technicien en Urbanisme.

 

·       Mme OYE NANG Claudine, Informaticienne.

 

DDIRECTION DES CONTROLES CADASTRAUX

 

-         Directeur : M. MBA ESSONE Emmanuel, Ingénieur cartographe.

 

 

SSERVICE DE LA PROCEDURE D’ATTRIBUTION DE TERRAINS

 

 

-         Chef de Service : Mme EKOTTO EPANGO, Ingénieur du Cadastre.

 

 

 

SSERVICE DE CONSTAT DE MISE EN VALEUR ET DES EVALUATIONS CADASTRALES

 

 

-         Chef de service : Mme BAYADI Sogni Eulalie, Ingénieur Topographe.

 

 

SSERVICE DU FICHIER CADASTRAL ET DE LA DOCUMENTATION FONCIERE

 

 

-        Chef de Service : Mme MAMBISSA BAKAKAS Inès Laetitia, Ingénieur Topographe.

 

 

DDIRECTION DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES

 

-        Directeur : Mme MENGUE ALLOGO Elise Valérie, Ingénieur Topographe.

 

 

SSERVICE DES INFRASTRUCTURES TOPOGRAPHIQUES

 

 

-        Chef de Service : M. ASSOUMOU Jean Pierre, Ingénieur des Techniques Génie Civil.

 

 

SSERVICE DES TRAVAUX DE DESSIN

 

-        Chef de service : Mme SOUGOU LATSIERE Alix Bertille, Urbaniste.

 

 

DDIRECTION GENERALE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Directeur Général : M. Jean Paul TCHIBINDA, Ingénieur Géographe.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

MM. 

 

·       TSINGA Jacob Eric, Docteur en Géographie Economique ;

·       MANFOUMBI Alexis, Architecte-Urbaniste.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

Mmes

 

·        NZEDI NGOMA Mariam Stella, Administrateur Civil ;

 

·       MBOKOBADI ASSINGA Alice, Ingénieur Informaticien ;

 

·       NDOMBI SIMBA Lorrys Linda,  Administrateur Civil.

 

DDIRECTION DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Directeur : M. ESSONO NGUEMA Marc Zéphirin, Architecte.

 

 

SSERVICE DES ETUDES ET DE LA RECHERCHE

 

-        Chef de service : M. OYANE MENDOGO Alain Gérald, Ingénieur des Travaux Publics.

 

 

 

SSERVICE DU LOGEMENT

 

-        Chef de Service : M. LEYINDA BOUCKEGHET, Urbaniste.

 

SSERVICE DE L’HABITAT RURAL

 

-        Chef de Service: Mme ASSANDA Cosette, Administrateur Economique et Financier.

 

 

DDIRECTION DE L’ASSISTANCE A L’AUTO-CONSTRUCTION

 

-        Directeur : M. MAPOUILAT Christophe, Ingénieur du cadastre.

 

 

SERVICE DE LA GESTION

 

-        Chef de Service : Mme BOMA Flore Nadine, Attachée d’Administration.

 

SERVICE ASSISTANCE ET CONTRÔLE DES TRAVAUX

 

-        Chef de service : M. ASSOUMOU MBA Sylvain, Ingénieur des Techniques Génie Civil.

 

 

SSERVICE DE LA MAINTENANCE

 

- Chef de service : M. MENIE M’ESSONO Jean Baptiste, Ingénieur des Techniques Electricité.                                                                         

 

 

SERVICE DE LA PRODUCTION DES MATERIAUX

 

-        Chef de service : M. YANGARI Edgard Rodolphe, Projeteur en bâtiment.

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’ESTUAIRE

 

-        Directeur : M.  BABIA Théophane, Architecte.

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-          Chef de service : M. NGUIE-EKOMI Paul Maximin, Ingénieur Bâtiments.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

 

-          Chef de service : M. Roger TSANGA BANDOUNGOU, Opérateur-Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-         Chef de Service : M. OBAME NGOME Jean, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. MAWORA Clément Vincent.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DU HAUT OGOOUE

 

-        Directeur : M.  MIBESSI Jean Pierre, Ingénieur  Géographe.

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

 

-        Chef de service : M. LOUEMBET  Régis Prosper, Ingénieur Technique.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-          Chef de service : M. KOLITE ZOUZE Gustave.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. ZUE Vincent, Architecte Urbaniste.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. BIYOGHO TCHOUA Jean Pierre Pierrot, Géomètre.

 

DIRECTION PROVINCIALE DU MOYEN OGOOUE

 

-          Directeur : M. MINKOUE Jean-Louis, Géographe.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M.  BOULAMBA MABIKA Brice, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

 

-        Chef de service : M. EKOUME ONDO Herbert Davis, Opérateur-Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. MOUNANGA Kevin Boris, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. ENGO MEMIAGHE Clément, Licence de Sciences Juridiques.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA NGOUNIE

 

-          Directeur : M. MALI MPEME, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. HAMANN HAMZA, Technicien Urbaniste.

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M.  BOUTGOU MABOUNDA Dieudonné, Ingénieur.

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. LEKANDA Arlien, Ingénieur.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-          Chef de service : M.  BIBOUTOU BIKOUATI  Fleur Edo, Cartographe.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA NYANGA

 

-        Directeur : M. LOLOS RAPOTCHOMBO Auguste, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. TEMBO LIBINDZOU Armel Gaëtan, Technicien en Urbanisme.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. MOUITY NZILA Fidèle, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-          Chef de service : M. NDONG OBAME Jean Joël, Architecte Urbaniste.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. MBOUMBA Joseph Michel, Technicien Topographe.

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE IVINDO

 

-          Directeur : M.  BIDZANG BI NDZIGHE Philippe, Ingénieur géographe Aménagiste.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. MABICKA MAGANGA Aimé Serge, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. ONKAGUI Moïse, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. NKOGHE Jonathan, projeteur en  bâtiment.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. EKOGA ALLO’O  Brice, Géomètre.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE-LOLO

 

-          Directeur : M. NGBWANA PAUL, Architecte.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : Mme ONGUILAT ONGAYE Ange Ornella, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. MBOUISSOU Franck Nicaise, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-          Chef de service : M. MAISSA Ludovic, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. NDZEDI Hugues Gaëtan.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE MARITIME

 

-         Directeur : M. NKOGHE Francis Roland, Architecte Urbaniste.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. MAILAT MOUTSINGA Claude Séverin, Ingénieur Cartographe.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. YOUBOU IPAUTA Aimé Gaëtan, Géomètre-Topographe.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M.  NGUEMBI Delphin, Ingénieur Géographe.

 

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M.  BOUBALA Franck  Simplice,  Géomètre.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DU WOLEU-NTEM

 

-          Directeur : M. BIBANG BI NKOGHO Florentin, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. NDONG Obiang Gilbert, Urbaniste.

 

Service des Travaux Topographiques et du Cadastre

 

-        Chef de service : M. TCHINDI Gislain, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. MAYI TSAMBA Porcel, Ingénieur du cadastre.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. NTOUTOUME EDZAN Félicien, Administrateur Civil.

 

 

ECOLE NATIONALE DU CADASTRE ET DES SCIENCES GEOGRAPHIQUES

 

-        Directeur Général : Mme ITONGO Marie Thérèse, Docteur en Géographie Physique.

 

 

DIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

 

-        Directeur : M. INOUSSA ONANGA MOUSSILYON Stéphane Ulrich, Attaché des Sciences Economiques et Financiers.

 

 DIRECTION DES ETUDES ET STAGES

 

-        Directeur : M. NDOUNGA M’BIAKA Sylvain.

 

 

CCENTRE TECHNIQUE DE L’HABITAT

 

-        Directeur : M. EDZANG NDOUTOUME Félicien, Administrateur Civil.

 

BBRIGADES SPECIALES DE L’URBANISME ET DE LA CONSTRUCTION

 

 

-        Directeur : M. MENGUE M’ENDOUME Robert, Ingénieur Géographe.

 

 

INSTITUT NATIONAL DE LA CARTOGRAPHIE

 

-        Directeur Général : M. GNONDA Alain Jean De Dieu, Architecte.

 

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

MM.

 

·       NDOUMADIAMBA Rodrigue, Ingénieur en Informatique ;

 

·       OSSAT NZE Nicaise, Ingénieur Géographe.

 

-        Conseillers du Directeur Général :

 

MM.

 

·       MEZUI Joël Bolivar, Administrateur Civil ;

·       KOUMBA LOULESSI Jean Léonard, Ingénieur cartographe.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

MM.

 

·       OBAME NGUEMA Emmanuel, Ingénieur  Cartographe ;

·       BOUSSENGUI Edouard,  Ingénieur  Cartographe.

 

 

DDIRECTION DE LA DOCUMENTATION ET DES RELATIONS EXTERIEURES

 

-        Directeur : M. MBOUALA Pierre, Ingénieur Cartographe.

 

 

SSERVICE DES RELATIONS DOCUMENTATION

 

-        Chef de service : M. EYI EYA’A Richard, Ingénieur cartographe.

 

 

SSERVICE DES RELATIONS COMMERCIALES

 

-        Chef de service : M. EYELE NZE Daniel Francis, Ingénieur Cartographe.

 

DDIRECTION DE LA PRODUCTION

 

-        Directeur : M. BIRINDA Jean Prince, Ingénieur Cartographe.

 

 

SSERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES

 

 

-        Chef de service : M. SOUGOU Gracia ; précédemment Directeur Provincial de la NGOUNIE.

 

 

SSERVICE DES TRAVAUX CARTOGRAPHIQUES

 

-        Chef de Service : M. BIYAMBOU NZENGUE Norbert Bradley ; Cartographe.

 

 

DDIRECTION DE LA CARTOGRAPHIE THEMATIQUE

 

-        Directeur : M. MOUSSOUNDA DILEBOU Jean Marie, Ingénieur  cartographe.

 

SSERVICE DE LA REALISATION CARTOGRAPHIQUE

 

-        Chef de Service : Mme MAROUNDOU MOUANGA Claude Amélie, Cartographe.

 

 

SSERVICE RECHERCHE

 

-        Chef de Service : M. METOHO ME ZUE Dieudonné,  Cartographe.

 

 

DIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

 

 

-        Directeur : M. HOUSMAN MAMADOU.

 

 

SERVICE FINANCIER

 

-        Chef de Service : M. NGOMA Jean Joseph Aimé.

 

 

SERVICE ADMINISTRATIF

 

-        Chef de Service : M. ONWANLELE Guy Patrick.

 

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

 

 

-        Commissaires Permanents de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) :

 

MM. :

·       Blaise Lionel MEMIAGHE ;

·       Léon Paul MVOUBA ;

·       Roger LAYAUD ;

·       Adrien MBADINGA ;

·       Emmanuel OGANDAGA ;

·       Alain MOUPOPA ;

·       Jean Bernard OGANDAGA ;

Mme :

Lydie IMMONGAULT

 

-        Commissaires non Permanents de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractères Personnel (CNPDCP) :

MM.

·       Barnabé INDOUMOU MAMBOUNGOU ;

·       Crépin ATENDE ;

·       Guy Martial BOUCALT ;

·       Pierre BITEGHE.

 

-        Président de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) : M. Blaise Lionel MEMIAGHE.

 

-        Secrétaire Général de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) : M. Georges OBOLO.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

BANQUE GABONAISE DE L’HABITAT

 

-        Directeur Général Adjoint : M. Yvon TCHICOT, Administrateur des Services Economiques et Financiers, en remplacement de Mme Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA, appelée à d’autres fonctions.

 

                                       FIN.

 


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posté le 30-10-2012 à 15:59:35

Gabon : Les dossiers SEEG et SOVOG évoqués par le Porte parole de la Présidence

Le Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise, Alain-Claude Bilié Bi Nze, a animé le lundi 29 octobre dernier à Libreville, une conférence de presse. A-t-on constaté.

 

En toile de fond de cette rencontre avec les médias, l'agenda du Président Ali Bongo Ondimba qui a récemment séjourné à Dubaï, dans le cadre du Forum mondial de l'énergie, qui s'est tenu du 22 au 24 octobre 2012. Ainsi que les dossiers SEEG et SOVOG.

 

« Au cours de ces assises qui ont réuni un nombre important des dirigeants du monde, le Président gabonais a prononcé une allocution à l'endroit de ses pairs et de la communauté mondiale. Dans son intervention, le Président Ali BONGO ONDIMBA a plaidé pour la création d'un fonds africain sur l'énergie et les infrastructures afin de réduire l'écart entre le nord et le sud », a souligné le Porte parole de la Présidence de la République.

 

Et de poursuivre : « Pour le chef de l'Etat gabonais, il ne s'agit plus seulement d'affirmer que l'Afrique est un continent d'avenir, il faut passer à l'action. A cette occasion, il a présenté les grandes lignes de la vision énergétique du Gabon qui consistent à doubler la capacité énergétique en 2013 pour atteindre 1200 MW en 2020 contre 414 MW actuellement. Cette ambition est possible grâce à des investissements considérables dans la production gazière, dont le potentiel est estimé à près de 39,59 milliards de m³ ; dans la production hydroélectrique et par la promotion des énergies renouvelables ».

 

Avant d'ajouter : « Le Président de la République a également évoqué la mise en place du programme de lutte contre le gaspillage et l'amélioration de l'efficacité énergétique qui doit être lancé au niveau de l'administration publique de manière à favoriser une utilisation efficiente de cette ressource au Gabon ».

A en croire Alain-Claude Bilié Bi Nze, en marge du sommet, Ali Bongo a eu des entretiens avec plusieurs chefs d'Etat africains, Faure Gnassingbé du Togo, Paul Kagamé du Rwanda, Mswati III, roi du Swaziland, Joyce Banda du Malawi, Ikililou Doinine des Comores.

 

« Suite à la perturbation observée durant une semaine dans la fourniture d'eau à Libreville, la SEEG a annoncé un retour à la normale ce week-end. La Présidence de la République tient à signaler que la situation de la fourniture d'eau dans la capitale était déjà anormale, avant cette interruption, car plusieurs quartiers de Libreville manquent de fourniture d'eau régulièrement », a indiqué l'orateur.

 

« La semaine écoulée a été particulièrement difficile pour les personnes physiques que sont les ménages et les particuliers, ainsi que pour les personnes morales représentées par les commerces et les industriels. Cette situation inadmissible est le fruit du manque d'entrain du concessionnaire de l'Etat à maintenir ses installations en bon état et à assurer une fourniture régulière d'eau aux habitants de Libreville », a-t-il poursuivi.

 

Le Chef de l'Etat qui a déjà souligné cet état de chose à maintes reprises, a fait savoir le Porte parole, réaffirme que cette situation ne peut pas continuer. Aussi, il annonce que des mesures fortes seront prises très prochainement.

 

Mais d'ores et déjà, a-t-il relevé, il demande à la SEEG de réfléchir en interne aux mesures compensatoires du préjudice subi pendant une semaine par les ménages, les commerces et les industriels, et d'en faire une communication dans les plus brefs délais, cela sans préjudice des actions de toutes natures qui pourraient être engagées par les particuliers ou par l'Etat.

 

« Il y a quelques semaines, le Président de la République lors de ses visites de terrain, a fustigé l'état d'insalubrité dans lequel est plongée la ville de Libreville.

A cette occasion, il a estimé qu'il était impérieux de prendre des mesures appropriées afin de trouver des solutions pérennes à cette problématique de l'insalubrité de nos villes ». A indiqué Alain-Claude Bilié Bi Nze.

 

Et de poursuivre : « Il a cet effet engagé l'Etat gabonais à être l'acteur principal dans la recherche de solutions pour que l'agglomération de Libreville et les autres villes du pays soient dotées d'un véritable schéma directeur de propreté qui concernera toutes les catégories de déchets engendrés par l'activité humaine ».

Avant d'ajouter : « C'est dans ce sens que des discussions avec l'actionnaire principal de la société SOVOG ont été engagées, et que l'Etat gabonais a acquis une large majorité des parts du capital de cette entreprise. Cette implication majeure de l'Etat dans le secteur stratégique de la propreté et de l'assainissement du cadre de vie des gabonais, a pour objectif d'orienter la politique d'assainissement de nos villes afin de permettre à toutes les gabonaises et à tous les gabonais de vivre dans un environnement sain et sécurisé ».

 

A en croire l'orateur, ce nouveau schéma directeur de propreté de Libreville et de son agglomération devra impliquer un plus grand nombre d'acteurs privés intervenant dans le secteur de la propreté et concernera la collecte des déchets ménagers ; la pré-collecte des déchets ménagers dans les quartiers en voie d'intégration ; la collecte des déchets industriels et assimilés ; l'évacuation des épaves sur le domaine public ; la collecte et le traitement des effluents liquides de toute nature ayant des conséquences sur l'environnement ; le balayage de toutes les rues dans tous les quartiers ; le curage des caniveaux ; l'entretien des espaces et jardins publics. L'embellissement et le fleurissement des villes gabonaises...

 

« Une nouvelle structure en cours de création sera chargée de mettre en application cette nouvelle vision de la politique et de la volonté du Président de la République en matière de salubrité et d'hygiène des villes du Gabon. Des dispositions sont prises pour la mise en route de la nouvelle structure dès janvier 2013. Ce schéma directeur ne sera complet que si notre capitale dispose d'un centre de valorisation à l'instar de toutes les grandes capitales du monde soucieuses de la préservation de l'environnement et du cadre de vie ». A indiqué le Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise.

 

« Pour soutenir les charges financières de ce nouveau schéma directeur de propreté, des ressources pérennes basées sur le principe pollueur-payeur seront mobilisées. La restructuration ainsi engagée devrait permettre de donner à Libreville un visage plus digne d'une ville capitale et de créer, d'ici à 2015, plus de 4000 emplois dans les secteurs de la collecte et du traitement des déchets ménagers, industriels et commerciaux ». A-t-il conclu.

 

 


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posté le 25-10-2012 à 13:25:14

UN GABON BILINGUE : POUR BOOSTER LES LEVIERS DE L'ÉMERGENCE

Dans sa conférence de presse hebdomadaire, le Porte-parole de la Présidence de la République, M. Alain-Claude Billié-Bi-Nzé, a annoncé la décision des autorités gabonaises d'adopter l'anglais comme deuxième langue de travail. Le Gabon intègre de fait le club très réduit de pays africains bilingues.


Quelques jours seulement après cette déclaration, le Président de la République, Chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, était reçu à Kigali, par son homologue rwandais, Paul Kagamé. Celui-ci est, du reste, considéré à ce jour comme le chantre du bilinguisme en Afrique francophone.
 

Ces deux événements concomitants témoignent de la ferme volonté de notre pays de s'engager plus avant dans sa recherche d'un environnement linguistique plus large et plus prometteur, capable de servir de levier à la mise en place d'une société et d'une économie du futur imaginée par le Président de la République Ali Bongo Ondimba, dans un Gabon émergent, à la hauteur des enjeux du 21ème siècle.

 

Dans l'annonce qui a été faite, il ne s'agit pas d'abandonner l'usage de la langue française, il s'agit de lui adjoindre l'emploi de la langue anglaise, considérée à ce jour, comme la deuxième langue la plus parlée au monde après le mandarin, en usage en Chine, qui compte plus d'un milliard de locuteurs. Placée en neuvième position, la langue française se présente, pour sa part, comme l'un des principaux liens entre les divers groupes linguistiques du Gabon, puis comme élément moteur de communication entre les Gabonais et le monde extérieur.

 

Il apparait évident, et tous les Gabonais le comprennent et l'y encouragent, que le Président de la République ambitionne de se donner les moyens de son époque. Son programme politique et social, qui est résumé dans le slogan « Gabon émergent », lui impose de trouver des outils de travail modernes et contextuels. La langue de travail constitue de ce fait, un important levier dont il faut se servir.

 

Dans le Gabon émergent souhaité par le Président Ali Bongo Ondimba, il est important que chacun exprime librement son point de vue, sans restriction ni entrave, et s'approprie celui des autres dans les mêmes conditions, sans intermédiaire. Or, dans la situation actuelle, les hauts fonctionnaires invités dans des forums de haut niveau, éprouvent de réelles difficultés à prendre part aux travaux lorsque ceux-ci sont déclinés dans une autre langue que le français ; de même, la plupart des étudiants gabonais consacrent leur première année à se perfectionner en anglais dès qu'ils sont appelés à poursuivre leurs études dans un pays anglophone. C'est, par exemple, leur menu en Afrique du Sud ou au Ghana, où séjournent d'importants contingents d'étudiants gabonais.

 

Depuis près de trois ans de pouvoir, le Président tisse inlassablement des partenariats avec des opérateurs économiques de tous les horizons, les invitant à s'implanter au Gabon. Certains d'entre eux, jusque-là éloignés par des barrières linguistiques, voudront maintenant franchir le pas en venant investir massivement dans notre pays, chose qu'ils ne pouvaient pas jusque-là à cause, justement, de la barrière que constituait le mono linguisme.

 

L'usage de l'anglais va contribuer désormais à lever la restriction injuste érigée à l'encontre du Gabon, en raison de ce système obtus de communication, dans le domaine du flux des capitaux. Le défaut de locuteurs anglais dans des emplois de type primaire explique en partie cette situation ; il empêche notamment des embauches massives de personnels locaux. Le tourisme, principalement l'hôtellerie, en souffre cruellement alors que certains autres secteurs, comme celui du pétrole par exemple, ressentent cette insuffisance de façon mineure, car l'usage de l'anglais y est souvent exigé comme un des principaux critères d'embauche.

 

On perçoit, dès lors, toute la valeur qui s'attache à l'usage de l'anglais comme langue de travail. L'anglais est désigné généralement comme la langue idéale du commerce et des sciences. Le cas du Cambodge est patent à cet égard. Pays francophone, la fin des guerres dans la région (le Vietnam contre les Etats-Unis, par exemple) a suscité un engouement formidable des investisseurs anglo-saxons dans les économies voisines du Cambodge, de telle sorte que ses ressortissants, locuteurs français à l'origine, s'adonnèrent massivement à l'apprentissage de l'anglais pour décrocher un emploi dans ces pays avoisinants, majoritairement d'expression anglophone. Aujourd'hui, l'économie cambodgienne est davantage tournée vers un emploi massif de locuteurs anglais. On la dit dynamique et en forte croissance, comme l'ensemble des économies de cette région du monde.

 

De même en France, la totalité des chercheurs s'expriment et publient en anglais ; les hommes politiques français, pour se faire entendre en Angleterre ou aux Etats-Unis, doivent s'escrimer pour tenir une conversation dans la langue de Shakespeare, de telle sorte que la presse française s'inquiétait déjà de ce phénomène il y a plus de dix ans.

 

Nous-mêmes, avions au Gabon, un francophile avéré, en la personne de feu Omar Bongo Ondimba, qui a pris part à tous les sommets de l'O.I.F. (Organisation Internationale de la Francophonie) et défendu chaque fois que possible, le développement de la langue française dans notre pays. Cependant, il n'a jamais empêché la pénétration de l'anglais au sein de notre système éducatif. Au contraire, une multitude d'écoles privées bilingues sont sorties de terre et plusieurs d'entre elles ont pignon sur rue aujourd'hui dans notre pays. Tandis que dans les établissements publics, l'enseignement de l'anglais se poursuivait mais demeurait à un niveau largement en dessous de la moyenne.

 

Un pays voisin, le Cameroun, est foncièrement bilingue depuis son indépendance. Le dynamisme de ce pays dans la sous-région de l'Afrique centrale est très connu ; il est sans doute la conséquence de cette double culture française et anglaise. On le voit, l'usage de l'anglais apporte un plus extraordinaire ; et, comme dit l'adage, il vaut mieux en effet disposer d'un 4X4 et ne pas avoir à s'en servir, que de ne pas en avoir du tout au moment où on en a besoin.

 

Les opportunités d'emplois au moment où le Gabon s'engage résolument sur la voie de développement, la facilité pour les étudiants et les hommes d'affaires ou les hommes politiques de se documenter ou de communiquer dans des instances de haut niveau, apportent la perspective d'un réel recul des frontières de la communication mono linguistique. Il s'instaurera alors avec l'autre, de nouveaux rapports de fraternité et d'amitié chers au Chef de l'Etat. Les investisseurs s'intéresseront véritablement à notre économie et le Gabon boostera, assurément, son décollage vers l'émergence.

 

Par P.-C. MINKO ESSONO,
PRESSE PRESIDENTIELLE.

 

 


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